sur fond d'une partie de partition de l'opérette "paganini" (1925) du compositeur autrichien franz lehár (1870-1948) sont collés une femme et un garçon. la femme aux "yeux de vedettes de cinéma" ("filmstaraugen") se présente, les mains vers la jupe, avec deux grands ballons à la place de la poitrine. un petit garçon en costume, pris en plongée, est à sa droite. au dessus et en dessous du bras de la femme on peut lire des parties de la chanson populaire de l'operette paganini "gern hab' ich die frau'n geküsst": "nimm sie dir, küss sie nur, dazu sind sie ja hier! ... doch treu bin ich nicht sehr," ("prends-les, embrasse-les, elle sont faites pour! ... mais je ne suis pas très fidèle"). backside: dos de la même page de partition avec la musique d'une autre chanson traitant des couples qui s'embrassent en cachette dans les petits bars. paroles de "gern hab' ich die frau'n geküsst" lehar / knopler / jenbach / welleminsky ich kenn der wahrhaften sünde glut / je connais la braise du vrai pêché weiß auch, wie weh oft die falschheit tut / je sais aussi à quel point la hypocrisie fait souvent mal ich denk mit lachen und weinen zurück / j'y repense avec un sourire et une larme und such im rausche, im tausche das glück / je cherche le bonheur dans le délire, dans l'échange refrain (x2) gern hab ich die frau'n geküßt / j'aimais embrasser les femmes hab nie gefragt / je n'ai jamais demandé ob es gestattet ist / si c'est permis dachte mir / je me disais nimm sie dir / prends-les küss sie nur / embrasses-les dazu sind sie ja hier / elles sont faites pour! nie nahm ich die liebe schwer / jamais je ne prenais l'amour lourdement ich küßte heiß / j'embassais chaudement doch treu war ich nie sehr / mais je n'étais jamais très fidèle kam als mann / j'avais comme homme stehts gut an / toujours du succès und drum hielt auch keine allzu lang / et par conséquent aucune ne tenait jamais très longtemps. refrain |